Avant de faire découvrir Cos d’Estournel à mes clients, c’est un client devenu par la suite un ami qui m’a fait découvrir Cos !
Je travaillais dans un restaurant où nous avions 8 ou 9 millésimes de Cos d’Estournel à la carte, et que je n’avais pas encore eu l’occasion d’en goûter un seul. Un soir, ce client commande un Cos d’Estournel 1999. Il le goûte, me dit qu’il s’agit probablement du meilleur vin qu’il n’ait jamais bu, mais qu’il préférerait le déguster en fin de repas. Il m’a alors demandé d’ouvrir un Cos 2010. J’ai donc eu la chance, le même soir, de découvrir deux immenses millésimes de Cos, et de me faire un nouvel ami !
Depuis cette découverte, j’ai bien sûr eu la chance de déguster de très nombreux millésimes, mais pour des raisons qui tiennent autant à l’émotion procurée par les vins qu’à la rencontre qui les a accompagnés, cette première reste mon plus grand souvenir de Cos d’Estournel.