Sculpter et rythmer le paysage, aller de lignes de fuite en perspectives, jusqu’à produire ces univers structurés mais épurés, qui donnent au territoire son identité graphique … au sein de ses vignobles comme dans les différents établissements de Michel Reybier, la perspective est donnée aux paysages, afin que chacun soit happé par leur beauté et leur élan.
À Ramatuelle, il a offert à l’Hôtel La Réserve une sublime arrivée, totalement ouverte sur la mer, sans limites. De la même façon, aucun obstacle ne vient contrarier la communion de La Villa du Lac avec le Léman à Genève.
La Réserve Paris Hotel & Spa offre les lignes haussmanniennes de sa façade, ou celles de la chaleureuse bibliothèque du duc de Morny au sein de laquelle chaque hôte est invité à venir se ressourcer. À Zermatt, on ne peut qu’être ébloui par la sublime vue dégagée sur le Matterhorn qu’offre l’hôtel Schweizerhof.
Quant à lui, le jardin de La Maison d’Estournel s’étend à perte de vue sur le parc centenaire, avec en ligne de mire les fameuses pagodes de Cos d’Estournel. Là-bas enfin, les lignes de fuite ont été magnifiées lors de la rénovation du chai : perspectives superposées au cuvier et au chai, parfaitement insérées dans les bâtiments historiques.
Sans compter les perspectives offertes naturellement par les rangs de vigne de chacun de ses vignobles, comme à La Mascaronne où le vignoble épouse le cirque naturel du site, devant le décor majestueux du massif des Maures. Perspectives, toujours, comme pour encourager une vision à s’échapper toujours plus loin.